L’’homme de l’Est
Il se sent seul, inquiet, passif écarté du réconfort festif de la liberté ,celle qui est condamnée dans son pays. Il se sent abandonné, sans désir obéissant à une variation en nuances de gris, seule lecture qu’il se fait de son environnement. Son flegme pourrait passer pour une drague impudique, mais il n’a aucun besoin de charité religieuse faite à la dérobade. Il préfère vivre dans l’ivrognerie destructrice d’un homme faussement libre.
Philippe/château d’eau