Elle n’est pas donnée à tout le monde.
Il y a ceux qui passent devant encore et encore et qui jamais ne la verront, ne s’y accosteront.
Elle est là pourtant à portée de main, à portée de vie.
Il suffit juste de lever la tête et l’on peut la voir accoudée à son balcon.
Elle nous surplombe de sa maestria.
Elle nous dissous de son regard doux.
Elle nous terrasse, nous rend fou.
La réalité n’a plus cours.
On tombe malade, on perd pied.
On s’énamoure de cette coqueluche.
Elle nous bouffe, nous fait nous consumer pour ses atouts à balconnets.
Une fois qu’elle a jeté son dévolu sur notre personne,
Le rythme s’accélère,
On s’affole, on s’étiole,
Esprit dérangé,
Elle nous enchaîne,
On est saoul d’amour,
Et puis lorsque ça cesse,
qu’elle se lasse,
On a le contre coup,plus rien n’a de goût,
Vie sans soleil, nuit sans étoile,
On ne vit plus, n’existe plus.
Elle nous surplombe de sa maestria,
Elle nous dissous de son regard doux,
Elle nous terrasse, nous rend fou.
Victime d’Elle
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